Wakfu

L'Espoir (Partie 2) - Les Carnets Nombre d'abonnés3 abonnés

Les contes du vieil Enutrof -> Les histoires au coin du feu
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L'obscurité était toujours là, oppressante. Les parois qui l'entouraient lui semblaient de plus en plus accueillantes. Oui, il voulait se blottir contre elles, oublier, tout oublier, se reposer. Juste se reposer. Juste un peu...

Un bruit strident et lancinant lui vrilla les tympans dès qu'il les touchât. Il eut la douloureuse impression que sa tête allait exploser. Le son pénétrait chacune de ses cellules. Il se glissait dans toutes ses chaires pour les transpercer de ses aiguillons de souffrance. Mais il avait tant besoin de dormir...

«Numéro 34!»

Le bruit ne semblait pas importuner les geôliers. Ils ouvraient la trappe. Le prisonnier s'effondra par terre. Le son déchirant repris. Brisé, il se releva et s'agrippa au crochet. Un hurlement lui échappa alors que le crochet transperçait sa main. Il se retrouva hissé par le trou sanguinolent de sa paume. Il tenta de se soulever de l'autre main pour diminuer la douleur. Il ne parvint même pas à lever le bras. Il était trop faible. Il hurla durant les longues minutes que durèrent sa sortie, ses geôliers prenant tout leur temps. Une forte poigne l'attrapa par les cheveux et le jeta à terre. Les Gardes le ruèrent de coups de pieds. Un long gémissement sortit de ses lèvres.

«Debout numéro 34!
-Daniel... M'appelle Daniel...»

De violents coups de fouet lui répondirent. Les Gardes lui passèrent des menottes. Voyant qu'il ne parvenait pas à se relever, leur chef l'attrapa de nouveau par les cheveux et le tira.

Daniel se laissa faire. Plus il s'éloignait de ce cachot infernal, plus il sentait sa puissance coulait à nouveau en lui. Il ne s'était jamais aperçu de son intensité. Il l'avait toujours prise comme un élément étranger, presque intrus sans avoir conscience de sa force. Maintenant qu'il l'avait perdu durant de longs jours, il la sentait véritablement. Elle affluait en lui, de plus en plus tandis que les Gardes lui firent emprunter un escalier en colimaçon. L'Énergie d'Ösrigur revenait en lui. Le Porteur sentit son corps se réchauffer sous sa puissance. Sa faim et sa soif s'évaporèrent. Ses plaies se résorbèrent d'elles-mêmes. Ses sens s'aiguisèrent à nouveau. La Force du sceptre Inespéré était presque aussi puissante qu'autrefois, sinon plus. Elle lava ses blessures, chassa la douleur et les séquelles des moindres recoins de son corps.

Daniel savait que s'il le voulait, il pouvait s'échapper ici et maintenant en allant chercher Victoire. Il souffla un grand coup et se remit sur ses pieds. Le Garde qui le tirait par les cheveux parut surpris, ce qui réjouit Daniel. L'homme en uniforme lui envoya un violent coup de poing en plein visage. La main de Daniel l'arrêta à quelques centimètres de sa peau. Le Garde hurla un ordre. Ses homme dégainèrent leurs lames. Le prisonnier leva ses mains bien haut, pour montrer qu'il n'avait pas d'arme. Son geôlier me frappa à nouveau. L'ancien disciple du Kanojedo ne fit pas un geste, là où il aurait pu mettre le tortionnaire à terre. Satisfait, l'homme l'attrapa par un bras et tira. Daniel suivit. Ils traversèrent de nombreux tunnels, empruntèrent une foule de porte, bien plus qu'à l'entrée. Ils finirent par arriver devant un mur. Le Garde enfonça certaines pierres dans une combinaison que Daniel mémorisa. Le mur se volatilisa. Ses geôliers le poussèrent dans la pièce dévoilée. Le mur réapparut.

La pièce en question était sombre, juste éclairée par un chandelier posé sur un bureau. Avec le pouvoir qui se déversait toujours en lui, c'était plus que suffisant. Trois hommes étaient assis derrière le bureau. Daniel prit la chaise qu'ils lui tendirent.

«Bonsoir numéro 34, commença le premier.
-Je m'appelle Daniel!
-Ici vous n'êtes qu'un numéro, reprit le second.
-Jusqu'à la fin de vos jours, termina le troisième.»

Daniel reconnut trois xélors.

«Alors, j'espère que vous êtes patient, car il parait que j'ai une assez belle longévité.
-Je vois que le cachot ne vous a pas tant affecté.
-Ah bon?
-Vous êtes très doué pour vous régénérer, reconnut le troisième. Mais ici ce sera inutile.
-Le temps se pliera à nous, menaça le premier.
-Vous croyez sans doute que je n'y connaît rien?
-Nous ne savons pas ce que vous êtes pour prétendre à de tels pouvoirs. Zobal? Mais cela ne vous sauvera pas en es lieux.
-Nous sommes trois, continua celui de droite. Cette pièce nous connait, tant elle a plié le temps pour nous.»

Daniel s'avança :

«Vous pliez sans doute le temps. Moi je plie sa Trame.
-Vous êtes arrogant 34.
-Comment avez-vous réussi ce tour de force, exigea celui du milieu.
-Comment les avez-vous vaincu?
-Ah, ce n'est plus le pourquoi mais le comment qui vous intéresse...
-Répondez!
-Eh bien... D'instinct.
-Vous ne nous direz rien, n'est-ce pas?
-Avant que vous ne m'enfermiez si brutalement, j'avais posé une question à vos prédécesseurs.
-Nous ne marchandons pas, répliqua le premier. Répondez ou nous irons chercher la réponse de force dans votre esprit.
-Amusez-vous donc!»

Les xélors l'encadrèrent et posèrent leurs mains sur ses tempes. Daniel ne sentit presque rien. Une surcharge de puissance projeta les Gardes aux coins de la pièce.

«Convaincus?»

Les yeux de Daniel étincelèrent avec des reflets bleutés :

«Vous avez peut-être eu les yeux plus gros que le ventre?
-Vous êtes...
-Plein à craquer. On réessaye? C'était marrant.
-Nous avons d'autres moyens de vous faire parler.
-Vous bloquer dans une faille temporelle par exemple, proposa le troisième.
-Tentez-donc! Mais je vous préviens : c'est votre dernière chance, après je sors les crocs.
-Puisque vous êtes si festif, je vous propose de jouer à un jeu, intervint le xélor de gauche.»

Une porte cachée coulissa au fond de la pièce. Le Porteur l'avait localisé dès qu'il était entré. Ce qui y venait par contre... Un bourreau entra en traînant Victoire. Cette dernière avait été totalement dénudée et son corps portait les traces infâmes de torture.

«Profitez-bien de la vue de votre amie. Si vous croyez être plus rapide que le bourreau, tentez-donc. Un dernier détail : elle est droguée. Sans cette drogue, elle ne peut espérer survivre deux jours.
-Relâchez-là, ordonna Daniel d'un ton vibrant de pouvoir.»

Les xélors le firent pas le moindre geste.

«Relâchez-là, répéta le Porteur.
-Notez : suite à l'utilisation d'une grande quantité de magie, le sujet voit ses yeux virer au bleu durant un court instant.»

Daniel mordit sa lèvre. Il se concentra et se remémora des souvenirs antiques au savoir oublié. Ses yeux virèrent totalement au bleu lumineux. Une aura d'Énergie se dégagea autour de lui.

«RELÂCHEZ-LÀ!»

Le bourreau s'effondra instantanément, comme l'un des Gardes. Du sang coulait le long de leur nez et de leurs yeux. Le xélor de droite s'était levé et libérait Victoire. Seul Séoul du milieu semblait lucide.

«Que...»

Ösrigur le faucha en pleine phrase. Une immense boule de flammes bleues l'empêcha de faire le moindre geste. Daniel arracha la cape de celui qui libérait Victoire pour l'en couvrir.

«Ça va aller Vicky, ça va aller.»

La pandawa ne répondit pas. Le Porteur interrogea le Garde du regard :

«Les effets de la drogue. Lorsqu'elle sera de nouveau consciente, il ne lui restera qu'une poignée d'heure. Votre magie ne servira à rien. Elle a été conçue par le capitaine que vous avez agressé.
-L'antidote?
-Cataplasme à base de menthol, de dernier murmure des chuchoteurs, de poudre de saphir et de souffle de Koinkoin. Voici la recette.
-Stabilisez son état et emmenez là à Leluche. Expliquez-tout. Dites-lui que je lui ramène un Koinkoin.
-Personne n'en vend. Et un Koinkoin volé ne marcherait pas, il faut que ce soit vous qui l'ayez sorti de l'eau.
-Faites ce que je dis. Une fois tout ceci terminé, rentrez à Bonta et oubliez cette discussion et ce que vous avez fait.
-Compris.»

Daniel disparut dans une explosion lumineuse.



[image]



Je me réveille tout doucement. Une douce lumière m'envahit. Avant, rien. Le noir. Le Néant. Mais la lumière a repoussé les ténèbres. Je renais.

L'étincelle qui m'a ranimé devient un feu. Ce brasier réchauffe mes entrailles. Et mon âme. J'avais un nom, avant. Avant que je ne sois un slek. Je ne m'en souviens toujours pas, mais ce moment approche.

Sa voix résonne encore en moi, comme un écho du passé. Sauf que ce n'est pas mon passé. C'est le début de la renaissance. L'étincelle qui a ravivé les cendres de l'oubli. À chaque instant, le feu grandit, faisant toujours plus bourdonner mes entrailles.

Deux visages sont gravés en moi. Vestiges du passé, rencontre du futur. Je sais que mon futur arrive. L'Energie qui croît en moi en est la preuve. Quelque chose a changé en moi. J'entends toujours Sa voix. Ses mots. Mon destin.»



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Deux silhouettes se glissèrent à travers les ombres. Dans les ombres, aurait dit un néophyte. L'un d'eux posa une main sur une serrure. Elle s'ouvrit sans problème. Un chien aboya. Un arc siffla. Leurs lames chantèrent pour les enfants encore debout. L'acier sombre s'enfonça dans la chair tendre et jeune. Sans un cri. Les escaliers grincèrent sous leurs pas. Une femme sortit d'une pièce. Une tâche rouge sang coula à travers le plancher.

Ils pénétrèrent dans le bureau. Un homme écrivait sous la lumière faible d'une chandelle. Un souffle éteignit la lueur. Sur le qui-vive, il se retourna. La lame d'acier sombre salua son cou. Le poignard de l'homme transperça le sol peu avant le corps.

Les deux tueurs le repoussèrent d'un coup de pied. L'un d'eux fouilla parmi les feuilles du bureau tandis que l'autre s'attaqua aux tiroirs. Ils ne se soucièrent pas des traces. Ils voulaient juste une feuille. La chance leur sourit assez vite. Le bureau révéla son double fond, et ses dossiers confidentiels. Le sceau "Secret d'Etat" fut rompu. Le papier, malgré l'écriture bâclée de l'administrateur des prisons, leur offrit ses secrets.

«Bien joué, Wazawa.
-Toujours un plaisir Braum Nix.»



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«Alors tu va finir comme lui!»

Miss Étincelle pivota lentement :

«Vas-tu donc enfin me dire comment tu l'as tué?»

Un violent éclair rouge jaillit de la Tige. La belle se jeta au sol.

«Tu ne vas pas tarder à le savoir!»

Miss traça des signes complexes dans l'air. Les coups de Well se perdirent autour d'elle.

«Toujours ton Soin Résiduel, hein?!»

Un éclair noir lui répondit. Les coups s'enchaînaient toujours plus vite. Les structures s'effondrèrent. Well sortit une fiole violette et la jeta sur l'autre. La douce robe fut rongée par une substance inconnue.

«Allez, montre-moi ton beau corps une dernière fois!
-Pauvre fou...»

Une immense lumière s'échappa de l'éniripsa aux cheveux d'or. Well eut un rictus sadique avant de plisser les yeux. La lumière s'éteignit pour laisser voir la scientifique intacte. Le fou se retrouva très vite acculé. Son ancienne compagne était aussi douée qu'autrefois, sinon plus. Les traits pleuvaient sur lui. En hurlant, il laissa libre cours à sa rage. Trahison. Haine. Vengeance. Haine. Haine.

Son lapino apparut à ses côtés. Étrangement, il était toujours aussi chou que des années plus tôt. La violence de Well déferla sur Miss Étincelle. Sa Tige Hybon en vint à le brûler tant il invoquait de marques. Il s'en moqua. La traîtresse faiblissait. Sa rage ne faisait que croître.

La belle se rapprochait dangereusement du mur de pierre. Well la surpassait dans sa folie. Elle tenta de s'envoler. Son ancien compagnon brûla une de ses ailes. Sa Régénération faisait toujours effet, mais la blessure avait touché des artères vitales.

«Et ça n'est rien à côté de ce que j'ai fait à ton fils!
-Notre fils.»

La lueur qui traversa le regard de l'ex-meneur de l'Alpha lui sauva la vie. Un couple, touché par la beauté de la belle ou la sauvagerie de l'autre, s'interposa. Une immense marque aux reflets maléfiques les enveloppa avant de les brûler vifs. Miss Étincelle eut le temps de finir de soigner son aile.

Le coup de Well se brisa sur le Déphasage de la chercheuse.

«Toujours aussi peureuse, hein?»

Les deux éniripsas, maintenant tous deux déphasés, s'assirent.

«Tu es encore plus fou que ce que je pensais.
-Et toi encore plus manipulatrice. Ils auraient survécu si tu ne les avait pas charmé.
-Tu les as tué!
-Non. C'est toi qui les as tué.
-Bien sûr que non.
-Ça fait mal, n'est-pas? Ça fait mal de savoir qu'on n'est responsable de la mort de nobles inconnus. Ça fait mal de se savoir coupable.
-Je suppose que tu t'y connais.
-Dis-moi, combien sont morts comme eux?
-C...
-Combien sont morts pour tes beaux yeux? Combien d'innocents tes Charles de bellaphones ont-ils tués?
-Tu es toujours obsédé par les mensonges de Colette à ce que je vois.
-Tu m'as pris ma vie! Tu as fait de moi ce que je suis devenu.
-C'est toi le seul responsable.
-Tu me dois bien ça, si il te reste un tant soit peu d'honneur.Combien?!»

La femme sortit son collier.

«Tu t'en souviens, demanda-t-elle. Ton premier cadeau. Ton premier mensonge. Tu n'as pas pu l'acheter dans une boutique. Il n'était pas à vendre. Nulle part. Il appartenait à une pauvre paysanne qui l'avait trouvé en labourant ses champs.
-Non... C'est Vadum qui me l'a donné...
-Vadum ne le connaissait pas. C'était le seul trésor de cette pauvre femme.
-Une babiole pour elle! Un vol contre ton cœur.
-Oh non, tu ne l'as pas volé. Trop lâche. Tu l'as acheté au marché noir.
-Tu sais combien il m'a coûté, supplia l'éniripsa aux cheveux blancs. Je l'ai payé pour toi!
-Rien. Tu as dénoncé le vendeur. Avant de prendre le collier.
-Je ne savais même pas qu'il l'avait avant de le dénoncer!
-Sur ce point au moins tu ne mens pas. Qu'as-tu fais à Mica?»

Le Déphasage de Well faiblit le premier. Il tenta bien de parer les sorts de la scientifique. Un éclair rouge toucha son cœur, comme au ralenti...

Miss Étincelle s'approcha du père de son fils et lui murmura à l'oreille :

«Je ne sais pas Well. Je ne sais pas.»


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Très loin de là, dans une taverne, un groupe se soûlait. Enfin, le sacrieur du groupe se soûlait en pleurant, tandis qu'une iop tendait de le réconforter et qu'une éniripsa le foudroyait du regard. Comme depuis bien des années. Rares avaient été les moments de joie. Au début, la marque semblait mineur. Mais rien n'avait su la stopper. Elle avait enflé et enflé, sans retour possible. Seul son visage avait était épargné. Et l'alcool avait fini par remplacer la pitié puis la haine. Le diagnostic l'avait brisé pour de bon. Une marque Interdite.

La marque Vampirique se mit à enfler soudainement. Elle pulsa et enfla. Sa couleur nocturne emplit la pièce. La marqua étouffait le sacrieur. Il déglutit un mélange de bière et de sang. L'éniripsa enfonça son couteau dans sa gorge pour la débloquer. Le seul sang qui jaillit était noir et poisseux. Le sacrieur ne pût même pas respirer.

Ainsi s'effondra Vadum.


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Le ciel se chargea de nuages violets et maléfiques. Au premier éclair, une pluie de sang inonda la Foire du Trool. Le sang était chaud. Des relents de moisissures l'accompagnaient.

Dans un coin caché du parc, Miss Étincelle eut une expression pleine d'horreur :

«Ainsi c'était une marque Vampirique...»

Le corps encore tiède du mort se releva. Une immense marque violette recouvrit son corps. Elle l'enveloppa totalement avant de disparaître dans une explosion aveuglante. Well tomba à terre, vivant.

Son premier réflexe fut de se jeter sur son ennemie. Son poing se brisa sur le Déphasage. Elle lui enfonça un violent coup de pied dans le ventre. L'éniripsa au visage brisé, toujours faible, s'écroula. En rampant sous le regard dégouté de la belle, il finit par attraper sa Tige. Une incantation lui vint immédiatement à l'esprit. Il hurla trois mots. Sa baguette luit durant un bref instant. Elle explosa entre ses mains. Il n'avait plus la force de maîtriser une telle infamie. En désespoir de cause, il se mit à marteler la belle éniripsa, toujours protégée. Ses poings se recouvraient de sang. Il voulut embrasser Miss Étincelle. Ses lèvres crépitèrent puis se craquelèrent Sand qu'il n'ait pu la toucher. Alors, la dernière étincelle de survie s'éteint en lui Well regarda sa baguette détruite, puis le ciel violet et enfin son ancienne compagne. Le regard de cette dernière était toujours débordant de dégoût.

«Je l'avais fait pour toi, geint-il.
-Il est trop tard pour avoir des regrets.»

Le collier de la belle tournoya dans sa main. Il captait la lumière des alentours et l'amplifiait.

«Tu avais raison sur un point : ce joyau est spécial. Et tu m'as offert l'occasion de te le prouver.»

La lumière caractéristique de Ses artéfacts chassa les nuages maudits. Un énorme rayon d'Énergie désintégra Well pour de bon. Il ne resta rien de lui.

La main de la scientifique tenant le bijou était brûlée. Elle leva les yeux au ciel. La pluie pansa sa main. La pluie masqua ses larmes.Page précédentePage suivante
Créé le 15/08/13 é 05:30
Derniére modification le 31/03/14 é 08:47
6 commentaires :
Patchs 1.28, 1.29, 1.30, 1.31, 1.32 et 1.34
Dracnor [Les Doux Barbares]947Hors ligne
06/09/2013 (19:17)
Le geolier est une erreur, le reste non ;)
Watsuo [La Lignée D'Akar]141Hors ligne
06/09/2013 (18:35)
"Son geôlier me frappa à nouveau."
C'est pas plutôt "le" à la place de "me" ?

" Le xélor de droite s'était levé et libérait Victoire."
Je suis pas sur de la terminaison du verbe libérer mais je dis rien car tu as peut être (surement) juste.

"La lumière caractéristique de Ses artéfacts "
Tu voulais pas plutôt mettre une majuscule au "A" plutôt que au "S"

Sinon c'est un très bon chapitre, bien décris et tout, je fais des jouissances visuelle à chaque fois que je te lis. J'ai rien d'autre à dire vue que je suis en mode mollusque fatigué. J'attends la suite ~
Dracnor [Les Doux Barbares]947Hors ligne
01/09/2013 (22:41)
Vilain correcteur automatique Apple, c'est "sans" normalement.
doflix [Les Chevaliers du Chaos]1287Hors ligne
01/09/2013 (22:34)
"Ses lèvres crépitèrent puis se craquelèrent Sand qu'il n'ait pu la toucher. " pourquoi Sand? sans non?

Et.. le bébé slek, c'est un nouveau personnage en fait? x)

Bref, bon chapitre que j'ai peut être pas apprécié à sa juste valeur vu mon état de fatigue.... je le relirais plus tard :'
darkomaru29Hors ligne
01/09/2013 (18:04)
super chapitre comme toujours, quelque fautes, mais rien de grave. En espérant le prochain chapitre bientôt. :)
Dracnor [Les Doux Barbares]947Hors ligne
01/09/2013 (16:39)
Je n'arrive plus à faire aussi long qu'avant, paix à mon âme. Je me rends compte que je n'avais pas pensé suffisamment à l'intrigue de Rhigalt, et j'en paye maintenant le prix.

Prochain chapitre, sadique powa!
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