Les Petites Histoires de Mezan - Les Carnets 6 abonnés

Par Adonide

[Ceci est la généalogie de mes personnages, telle que je l'ai inventée. En tout cas, je me suis bien amusée à la faire ! Si vous voulez intégrer La Lignée, cela pourrait se faire en jeu, si vous aimez le RP...]





Réséda - Grande Maitresse Xelor ayant maitrisé la magie de l’Eau Infinie. Comme tout le monde le sait, les Dieux Supérieurs trouvèrent cette magie trop puissante et la supprimèrent du Monde de Douze. Réséda était parmi les premier Xelors à réapparaitre après le déluge.
















Ateraka - Après la suppression de la magie Infinie des Xelors, Réséda se découragea et plutôt que de se consacrer à son entrainement, elle prit en charge une jeune Iopette du nom d’Ateraka. Son choix d’entrainer un serviteur d’Iop s’était fait en voyant les récentes montées en puissance de cette classe. En effet, les serviteurs du dieu de la puissance brute qui se spécialisaient dans la voix aérienne et rapide de l’Air devenaient les maitres les plus puissants durant cette période. Ateraka se mit à maîtriser son élément et devint rapidement plus puissante que sa maitresse, qui faiblissait de jours en jours depuis qu’elle ne pouvait plus utiliser l’infini. Après la destruction de certains équipements de l’Air parmi les plus puissants, encore une fois provoquée par les Grands Dieux, Ateraka qui avait pris son autonomie remarqua que sa voie devenait de plus en plus atténuée. La puissance était encore largement possible, mais le syndrome de son ancienne Guide la gagnait peu à peu : elle n’avait plus le gout de sa progression personnelle.





Adonide - Le nom d’Adonide était déjà porté depuis l’Âge des Dofus, pour la première fois par une Sram sans importance mais ayant donné le courage à certains. Ce nom était lié à l’amour et à la puissance. La jeune fille qui portait ce nom était une Crâtte ne sachant pas quelle voie choisir. Ateraka, qui comme sa maitresse s’était sentie prête à enseigner, décida de prendre sous son aile cette apprentie. La voie de la Terre se faisait prometteuse et c’est donc celle-ci qui fut enseignée à la disciple de Crâ. La jeune Adonide devint rapidement puissante, mais les Grands Dieux s’en mêlèrent encore une fois. Les nuages se troublèrent et passèrent de la Terre à l’Eau, supprimant pour la troisième de La Lignée une voie toute tracée. Étais-ce une malédiction ? Les puissants de ce monde se voyaient dépossédés de leurs équipements avant si parfaits. Adonide pouvait bien sur comme Ateraka choisir d’autres équipements, mais elle se lassa elle aussi du combat et de la progression personnelle, alors qu’elle avait dépassé sa maitresse.





Nielle - La jeune Sacrieuse qui portait ce nom venait de prendre vie sur cette terre. Elle avait choisit la déesse des souffrances pour le plaisir de protéger ses partenaires et d’avoir en échange la puissance la plus brute possible. Son frère ainé qui se prénommait Mezan était lui aussi Sacrieur, mais spécialisé dans l’acrobatie, la transposition et tous les arts d’un Sacrieur Air. Adonide remarqua les deux enfants et décida de prendre Nielle sous son aile, car la voie du Feu lui rappelait la puissance brute qu’avait sa Maitresse quand elle utilisait l’Air de Iop. Sous l’aile de sa Maitresse Crâtte, la jeune Nielle devint rapidement puissante et résistante. La Sacrieuse se plaisait à souffrir sans jamais mourir, tandis qu’elle frappait de plus en plus fort à l’aide de sa surpuissance. Comme toujours dans La Lignée, l’élève dépassa rapidement le Maitre et Nielle fut alors la plus destructrice des quatre membres. Elle fit entrer dans La Lignée son frère Mezan.






Mezan - Il était le plus faible des cinq, mais il était grand penseur et philosophe. La voie de l’Air lui permettait de fuir les ennemis trop puissants, et il réfléchissait aux causes et aux conséquences de chaque chose qui lui arrivait, de chaque mouvement qu’il faisait, et même de chaque battement d’aile de papillon. C’est de la qu’il créa une technique qu’il baptisa technique « Du Papillon ». Elle consistait à voler d’ennemis en ennemis, toujours en étant insaisissable et en causant petites blessures par petites blessures, jusqu’à ce que ses adversaires succombent, tandis que lui n’avait même pas une écorchure. Sa sœur critiquait violemment cette technique, n’étant selon elle pas digne d’un vrai Sacrieur qui se devait de souffrir. Mais pour Mezan, tout était bon à prendre, tant que l’on survivait. Il se retira tout de même rapidement du combat, sans avoir dépassé en puissance un seul des quatre autres membres de La Lignée. Il se consacra dès lors seulement à l’écriture et à la réflexion.






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